Après plus de quatre décennies passées derrière un volant, Emile découvre enfin le montant réel de sa pension. Beaucoup de chauffeurs routiers s’interrogent : que reste-t-il après une carrière complète dans le transport ? Voici un article clair, chiffré et optimisé pour comprendre concrètement la retraite d’un conducteur en 2025.
Après 42 années cotisées dans le transport de marchandises, Emile perçoit environ 1 187 € par mois.
Ce montant combine plusieurs sources :
– La pension de base du régime général
– La retraite complémentaire Agirc-Arrco, essentielle dans le secteur routier
– La prise en compte de la pénibilité ou des longues carrières, lorsqu’elle s’applique
Son revenu final repose sur trois éléments clés :
Le salaire annuel moyen (calculé sur les 25 meilleures années)
Le nombre de trimestres validés (ici, une carrière complète)
Les points Agirc-Arrco accumulés au fil des années
Pour de nombreux chauffeurs, ce niveau de pension est représentatif d’une carrière longue et relativement stable dans le transport.
Avant même de toucher leur pension, beaucoup de conducteurs bénéficient de la CFA (Congé de Fin d’Activité), un dispositif très connu dans le secteur.
La CFA permet de :
Cesser la conduite avant l’âge légal,
Percevoir entre 70 et 75 % du dernier salaire brut,
Gérer une fin de carrière plus douce dans un métier physiquement exigeant.
Elle n’est pas une retraite, mais elle permet de sortir plus tôt du camion tout en maintenant un revenu transitoire appréciable.
La retraite n’est jamais identique d’un conducteur à l’autre. Plusieurs facteurs font varier fortement le montant final :
Le type de transport : marchandises, voyageurs, international, régional…
Le nombre exact de trimestres cotisés ou manquants
Les primes non cotisées, très fréquentes dans le transport (découchés, indemnités…)
La stabilité de carrière : interruptions, chômage, formation, maladie
Les points Agirc-Arrco accumulés durant toute la vie professionnelle
Ainsi, deux chauffeurs ayant le même âge peuvent percevoir des pensions très différentes.
– Vérifier chaque année son relevé de carrière pour corriger les oublis de trimestres.
– Surveiller ses points Agirc-Arrco, souvent plus importants que la pension de base.
– Se renseigner tôt sur la pénibilité (travail de nuit, longues carrières).
– Conserver tous ses bulletins de salaire, surtout en cas de primes.
– Demander une simulation officielle dès 55 ans pour anticiper.
– A-t-on bien tous ses trimestres validés ?
– Les primes non cotisées impactent-elles la pension prévue ?
– La CFA est-elle accessible selon le type d’entreprise ?
– Les points Agirc-Arrco sont-ils correctement comptabilisés ?
Le montant estimé correspond-il à une carrière complète ou incomplète ?
Avec 42 ans d’activité, Emile touche environ 1 187 € par mois, un montant proche de celui de nombreux chauffeurs ayant mené une carrière complète dans le transport.
Pour anticiper au mieux sa retraite, il est essentiel de suivre ses trimestres, ses points complémentaires et ses droits à la CFA. Une bonne préparation peut faire gagner plusieurs dizaines d’euros chaque mois une fois la retraite arrivée.
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